Neuro-atypique, et alors ?
Nous sommes riches de nos différences
Derrière ce terme « neuro-atypique« , on entend « non typique » dans le sens : avec un « fonctionnement cérébral spécifique », sortant des ‘standards’. Si, au départ, le terme fut créé par la communauté autistique pour désigner les personnes ayant reçu le diagnostic d’un TSA ou « Trouble de la Sphère de l’Autisme », il regroupe aujourd’hui un plus vaste éventail de particularités.
Les profils neuro-atypiques englobent une variété de conditions telles :
- Syndrome d’Asperger
- TDAH (Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité)
- Hysersensibilité (qui n’a rien à voir avec la sensiblerie)
- Divers troubles DYS (dyslexie, dysorthographie, dysplasie, dyscalculie…)
- Haut Potentiels divers (HPI, THPI, HPE, etc.)
Fonctionner et penser hors du cadre
Les personnes neuro-atypiques sont souvent stigmatisées, car sortant du cadre. C’est bien souvent le cas dès l’école où elles peinent (déjà) à trouver leur place.
Adultes, certaines éprouvent des difficultés à s’adapter à la société normée. Il n’est pas rare qu’elles se dévalorisent à force de se comparer (ou d’être comparées) à leurs pairs neuro-typiques et finissent par avoir une moindre confiance en leurs capacités et une faible estime d’elles-mêmes.
On les qualifie d’instables, de trop émotives. On leur dit qu’elles réfléchissent trop, pensent trop, prennent tout à coeur, coupent les cheveux en quatre. Ou bien encore qu’elles n’arriveront jamais à rien dans la vie.
Quelle ironie ! Comme s’il fallait impérativement être « normal » pour « réussir » sa vie ! Quid alors de Einstein, Mozart, Picasso, Gauss, Isaac Newton, Michel Ange, Leonard de Vinci, Marie Curie, Bill Gates, Steve Jobs ou Spielberg et tant d’autres encore ? Tous ont en commun le fait d’être « hors normes » dans un ou plusieurs domaines.
Les personnes neuro-atypiques peuvent rencontrer des défis dans des environnements qui ne sont pas adaptés à leurs besoins spécifiques. Cependant, elles peuvent apporter des perspectives uniques et des talents exceptionnels dans divers domaines, notamment l’art, la science et la technologie.
Car être « neuro-atypique » n’est nullement une fatalité. Il n’y a qu’à voir le nombre de prises de conscience qui surgissent bien souvent en milieu de vie et qui expriment un soudain besoin vital de sérénité et de réalignement avec soi. Un virage à 180 degrés pour certains qui passe par la case burn-out ou maladie parfois et qui s’opère suite à une profonde remise en question et une meilleure connaissance de soi.
Trouver son équilibre grâce à la sophrologie
Sans se substituer à d’autres éventuels suivis, rééducations ou traitements, la sophrologie peut permettre aux personnes neuro-atypiques de se (re)découvrir et s’épanouir en exprimant pleinement leur potentiel, en parfait alignement avec leur moi profond.
En effet, grâce à des exercices simples à la portée de tous, la sophrologie – cette pratique harmonisant le physique, le mental et l’émotionnel – va notamment permettre de travailler différentes thématiques telles que :
- Accepter sa différence
- Faire une force de sa différence
- Mieux réguler ses émotions
- Apaiser un mental bouillonnant
- Canaliser son énergie
- Prendre du recul
- Développer son potentiel
- S’aligner avec sa personnalité profonde
- Booster sa confiance en soi
- Améliorer son estime de soi
- Mieux réguler son sommeil
- Augmenter sa capacité d’attention
- S’ancrer dans le présent
Vous êtes atypique et souhaitez un accompagnement sur mesure ?
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